« Saudade » : le titre fait évidemment référence au genre musical propre aux îles du Cap-Vert et à Cesaria Evora. D’ailleurs, l’histoire pourrait s’y situer : les prénoms sont d’inspiration portugaise, le nom du cinéma et celui de la banque également…
Lire la suite...Nuit polaire
Détenu depuis six mois dans un bagne disciplinaire perdu au fin fond de l’Arctique, Harrisson Banks n’est plus qu’un numéro : le 990320. Désespéré, seul, Banks ignore pourtant que certains ne l’ont pas oublié et poursuivent malgré tout leur but …
Détenu depuis six mois dans un bagne disciplinaire perdu au fin fond de l’Arctique, Harrisson Banks n’est plus qu’un numéro : le 990320. Désespéré, seul, Banks ignore pourtant que certains ne l’ont pas oublié et poursuivent malgré tout leur but : le tuer.
Notre avis : Bien que dotée d’une intrigue moins consistante que dans les deux premiers volumes, « Nuit polaire » dévoile quelques clés qui pourront bien être utile à la suite du récit. La narration conserve son dynamisme, la mise en scène est efficace et le dessin de Malfin toujours aussi percutant. Golden city s’est imposé en 3 albums comme une série de référence symbole de la « génération Delcourt ». A lire sans hésitation.