Guy Lefranc est de retour, pour une aventure très lointaine, périlleuse et aux enjeux politiques : ce qui n’est pas la première fois. Naturellement, cette régate lui réserve de graves imprévus et, tout aussi certainement, le journaliste déploiera tout son courage et sa compétence pour sortir par le haut de la situation. Il se joint à Théa, une bonne amie — sans qu’une relation plus intime soit même suggérée — pour faire partie d’une des équipes concourant lors de cette course maritime autour du globe. Et le reportage qu’il en tirera sera destiné à son journal : Le Globe, justement. Pesant sur ce contexte, le père de Théa (Van Toor) est un homme d’affaires international qui vend du minerai et le fait convoyer en Indonésie. Tous les protagonistes vont converger vers cette zone sensible, indépendante depuis peu, et très convoitée. Un album d’une excellente équipe d’auteurs, à l’action soutenue, et à lire au premier degré.
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Suite au succès rencontré en Russie par le film « Astérix et Obélix contre César », un libraire et éditeur indépendant français installé dans ce pays, Emmanuel Durand
, s’est attelé à la lourde tâche d’y distribuer pour la première fois les aventures d’Astérix. C’est curieusement « Astérix et les Goths », au tirage initial de 5000 (!) exemplaires, que peuvent ainsi découvrir les lecteurs russes qui avouent cependant avoir du mal à reconnaître les acteurs du film sur le papier !