Guy Lefranc est de retour, pour une aventure très lointaine, périlleuse et aux enjeux politiques : ce qui n’est pas la première fois. Naturellement, cette régate lui réserve de graves imprévus et, tout aussi certainement, le journaliste déploiera tout son courage et sa compétence pour sortir par le haut de la situation. Il se joint à Théa, une bonne amie — sans qu’une relation plus intime soit même suggérée — pour faire partie d’une des équipes concourant lors de cette course maritime autour du globe. Et le reportage qu’il en tirera sera destiné à son journal : Le Globe, justement. Pesant sur ce contexte, le père de Théa (Van Toor) est un homme d’affaires international qui vend du minerai et le fait convoyer en Indonésie. Tous les protagonistes vont converger vers cette zone sensible, indépendante depuis peu, et très convoitée. Un album d’une excellente équipe d’auteurs, à l’action soutenue, et à lire au premier degré.
Lire la suite...Boule et Bill : Les quatre saisons (tome 28)
Résumé : Une charmante banlieue citadine, de nos jours. Quoique. Peut-on dater les aventures de Boule et Bill ? Non, sans doute. L’univers de Roba n’a pas changé depuis ses débuts, en 1959, ou si peu. Il a évolué. De …
Résumé : Une charmante banlieue citadine, de nos jours. Quoique. Peut-on dater les aventures de Boule et Bill ? Non, sans doute. L’univers de Roba n’a pas changé depuis ses débuts, en 1959, ou si peu. Il a évolué. De manière constante, car l’homme est un perfectionniste et ses personnages davantage que des créations de papier. Dans ce petit quartier tranquille où ils vivent leurs aventures quotidiennes depuis plus de quarante ans maintenant, Roba a choisi de planter son chevalet et d’observer. Cela donne cet album, le premier depuis cinq ans : » Les quatre saisons de Boule et Bill. »
Notre avis : Boule et Bill s’intègre parfaitement à l’image propre et tendre que l’on associe aux proches fêtes de fin d’année. Ainsi, la lecture de ce nouvel album du petit rouquin et de son cocker de chien, procure un moment de repos, rempli de paix et de bonheurs simples. Une série toujours aussi fraiche et tendre qui confirme une nouvelle fois que la série, plus que toute autre, mérite son qualificatif de « familial ». Un album à offrir pour le plaisir des petits et des grands.
Dargaud – 52 FF