Guy Lefranc est de retour, pour une aventure très lointaine, périlleuse et aux enjeux politiques : ce qui n’est pas la première fois. Naturellement, cette régate lui réserve de graves imprévus et, tout aussi certainement, le journaliste déploiera tout son courage et sa compétence pour sortir par le haut de la situation. Il se joint à Théa, une bonne amie — sans qu’une relation plus intime soit même suggérée — pour faire partie d’une des équipes concourant lors de cette course maritime autour du globe. Et le reportage qu’il en tirera sera destiné à son journal : Le Globe, justement. Pesant sur ce contexte, le père de Théa (Van Toor) est un homme d’affaires international qui vend du minerai et le fait convoyer en Indonésie. Tous les protagonistes vont converger vers cette zone sensible, indépendante depuis peu, et très convoitée. Un album d’une excellente équipe d’auteurs, à l’action soutenue, et à lire au premier degré.
Lire la suite...LE MUSEE DI MARCO VIENT D’OUVRIR SES PORTES A TROYES.
Le musée des faits divers s’est installé dans deux maisons du XVI° siècle.
L’ancienne boutique des docks est devenue l’accueil. Dès l’entreée,piles de vieux exemplaires de Qui Police ? .et de Détective, ancienne et nouvelle formules attendent le visiteur.
Dans un coin, posé sur une chaise un drôle de chapeau écossais, reconnaissable entre tous : celui de Marcel Zannini, le clarinettiste. Plus loin la salle vidéo suivie plus tard de la cafétéria. .
La collection d’Angelo Di Marco est présentée sur trois étages. Dans une pénombre apaisante, des rampes des spots mettent en lumière chacun des originaux d’Angelo Di Marco. Cinquante ans de carrière présentés sans contrainte de chronologie, de thème ou de support:. Dans cette ambiance, l’art de Di Marco révèle toute sa force.