Voici enfin le second volet de l’adaptation en BD de la célèbre trilogie de Philip Kerr : les lecteurs du premier album piaffaient d’impatience d’en découvrir la suite. Ce long récit de 144 pages permet de retrouver le détective privé Bernhard (dit Bernie) Gunther enquêtant sur les viols de jeunes filles au sein d’une Allemagne nazie qui s’apprête à conquérir l’Europe. Une enquête menée tambour battant, qui le conduira dans l’entourage des futurs maîtres du pays. Un régal pour les passionnés d’histoire et de polar, mais aussi pour les nostalgiques de la ligne claire.
Lire la suite...SHAU TAN, PREMIER ARTISTE AUSTRALIEN PRIME A ANGOULEME!
Shaun Tan est né en 1974 et a grandi dans les banlieues nordiques de Perth en en Australie occidentale. À l’école il est rapidement repéré comme un excellent dessinateur, ce qui compensait sa petite taille. Il sort diplômé du Fine Arts …
Shaun Tan est né en 1974 et a grandi dans les banlieues nordiques de Perth en en Australie occidentale. À l’école il est rapidement repéré comme un excellent dessinateur, ce qui compensait sa petite taille. Il sort diplômé du Fine Arts and English et travaille actuellement à plein temps en tant qu’un artiste et auteur indépendant, se concentrant la plupart du temps sur l’écriture et illustrant des livres pour
Shaun a commencé à dessiner des histoires de science-fiction et d’horreur pour différents éditeurs et depuis il a reçu de nombreuses récompenses pour ses albums, y compris le CBCA (Children’s Book Council of Australia) Picture Book of the Year Award pour The Rabbits avec John Marsden (1998). En 2001 il a été nominé Best Artist at the World Fantasy Awards a MontrealIl Il écrit et dessine son premier livre illustré, The Lost Thing, en 2000,
Il a récemment travaillé pour les studios Blue Sky Studios and Pixar, fournissant le « concept artwork » pour de prochains films. Un de ses derniers ouvrages The Red Tree parait en 2001. The Arrival (Là où vont nos pères ) est publié en 2007. En janvier 2008,Là où vont nos pères, est primé à Angoulême comme meilleur album de l’année (Dargaud).
Claude Moliterni