Quel plaisir, après des années et des années de chroniques sur les nouvelles parutions concernant le 9e art, de continuer à découvrir des auteurs prometteurs qui, d’emblée, semblent vraiment maîtriser les codes narratifs et graphiques de la bande dessinée ! C’est d’autant plus méritoire quand il s’agit d’un premier album en ce domaine : ce qui est le cas de Pierre Alexandrine avec son « Amourante ». Ce dense ouvrage de 230 pages, édité chez Glénat, nous propose un voyage aussi palpitant qu’amusant à travers les époques et les lieux, en remettant en question notre obsession tout à fait compréhensible de plaire perpétuellement et de ne pas mourir…
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Ainsi se nomme le journal de nos tout petits amis bleus, sorti le vendredi 14 novembre 2003, (« Première et Dernière Edition ») en supplément d’un quotidien belge, à l’occasion de la sortie du nouvel album Schtroumpf intitulé Le Schtroumpf reporter.
Cet amusant journal de huit pages, sensé rappeler celui que produit Schtroumpf reporter, comporte tous les ingrédients d’un quotidien classique, à savoir une info « rigoureuse » (« La Fête tourne au règlement de compte », « Profession :croqueuse de Schtroumpfs ! » il s’agit bien sûr d’un « papier » consacré à la Schtroumpfette, « Tentative de saut à l’asperge »), mais aussi un courrier des lecteurs, des petites annonces, un concours, etc.
Amusant et sans doute bientôt recherché des collectionneurs français qui n’y ont pas eu droit vraisemblablement. PM