Guy Lefranc est de retour, pour une aventure très lointaine, périlleuse et aux enjeux politiques : ce qui n’est pas la première fois. Naturellement, cette régate lui réserve de graves imprévus et, tout aussi certainement, le journaliste déploiera tout son courage et sa compétence pour sortir par le haut de la situation. Il se joint à Théa, une bonne amie — sans qu’une relation plus intime soit même suggérée — pour faire partie d’une des équipes concourant lors de cette course maritime autour du globe. Et le reportage qu’il en tirera sera destiné à son journal : Le Globe, justement. Pesant sur ce contexte, le père de Théa (Van Toor) est un homme d’affaires international qui vend du minerai et le fait convoyer en Indonésie. Tous les protagonistes vont converger vers cette zone sensible, indépendante depuis peu, et très convoitée. Un album d’une excellente équipe d’auteurs, à l’action soutenue, et à lire au premier degré.
Lire la suite...Gli anni che svestirono l’italia

Ce catalogue de l’exposition Gli anni che svestirono l’italia présente une rétrospective entre 1962 et 1973 des tentations et désirs de la BD. Présenté par Roberto Roda et Frerruccio Giromini, préface de Giulio C. Cuccolini,
on découvre une documentation très importante à travers la BD, la photo et l’illustration de l’évolution du vêtement féminin au long de cette décade. Gli anni che svestirono l’italia est .ublié par editoriale Sometti de Mantova avec l’aide de la Fondation de la Banca Agricola de Mantoue. Ce type d’exposition que nos amis italiens réalisent trois ou quatre fois par an manque terriblement en France. Il est vrai qu’il est plus facile de présenter une exposition sur un auteur en accrochant une trentaine de ses planches que de préparer une réflexion sur la bande dessinée. Ce qui devrait être, à mon sens, le véritable rôle du C.N.B.I. CM