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Pendant les années sombres de l’Occupation, alors que l’hebdomadaire Spirou était interdit de parution par l’occupant allemand, le héros de Rob-Vel continuait à vivre grâce à un spectacle de marionnettes à fil animé par André Mons et Jean Doisy. Ce sont ces textes endormis depuis plus de 70 ans qui revivent aujourd’hui sous le crayon enchanteur d’Al Séverin.

Après trente ans d’absence, le flic dépressif de Tito et Jan Bucquoy, qui fit les beaux jours du mensuel Circus, revient le temps d’un beau livre largement illustré et préfacé par l’incontournable Jean-Pierre Dionnet : « Une année en enfer ».

Apparue dans le numéro 15 du Journal de Mickey d’après-guerre en 1952, « Mickey à travers les siècles » a fait voyager dans l’Histoire plusieurs générations de jeunes lecteurs. Tout juste 40 ans après la disparition de la série, revoici la petite souris de l’univers Disney en route pour de nouveaux voyages dans le temps.

Nous vous avons déjà parlé sur BDzoom.com des 20 ans des éditions Bamboo. Le point d’orgue des festivités organisées autour de l’évènement aura lieu le samedi 6 octobre à Charnay-lès-Mâcon, où la maison d’édition vient d’inaugurer un siège flambant neuf. 150 auteurs vous y attendront pour un week-end pas comme les autres en Saône-et-Loire.

Alors qu’il s’apprête à fouler pour la première fois les pavés de la capitale française, le cow-boy qui tire plus vite que son ombre est l’invité de GEO histoire. Plus qu’une étude sur la série créée par Morris, c’est un panorama documenté sur l’épopée du Far West à travers les aventures de Lucky Luke qui nous est proposé.

Né le 26 septembre 1938, Raoul Cauvin fête ses 80 ans en ces premiers jours d’automne. C’est sous une couverture pour le moins déroutante, signée Nicolas Bannister, que l’hebdomadaire rend hommage à celui qui est né quelques mois après lui. La moindre des choses, puisqu’on lui doit la création de héros devenus aujourd’hui des classiques.

Le traditionnel Fluide glacial série Or de rentrée aborde un thème qui parle à de nombreux lecteurs de bandes dessinées : la moto. Petite déception, pourtant : s’il est tout à fait logique de retrouver des reprises signées par le grand Coyote, hélas disparu en 2015, il est plus décevant d’y lire des rééditions d’autres auteurs plutôt que des créations, pratique économique jusqu’alors limitée aux numéros de vacances. Il n’en demeure pas moins que ce hors série vaut son pesant d’humour.

Les scénaristes et dessinateurs ayant succédé à Jacques Martin ne se comptent plus, et d’autres suivront certainement dans les prochaines années. S‘il est un scénariste dont le nom restera, c’est bien David B., lequel vient de signer le trente-septième album de la série née dans Tintin en 1948.

Septième livraison toujours aussi surprenante du trimestriel publié par l’Association avec son format géant XXL, sa mise en page toujours aussi bordélique que travaillée jusqu’au plus petit détail. Après les petites annonces décoiffantes proposées dans le numéro précédent, le magazine se scinde en deux parties, une pour madame, l’autre pour monsieur.