Quel plaisir, après des années et des années de chroniques sur les nouvelles parutions concernant le 9e art, de continuer à découvrir des auteurs prometteurs qui, d’emblée, semblent vraiment maîtriser les codes narratifs et graphiques de la bande dessinée ! C’est d’autant plus méritoire quand il s’agit d’un premier album en ce domaine : ce qui est le cas de Pierre Alexandrine avec son « Amourante ». Ce dense ouvrage de 230 pages, édité chez Glénat, nous propose un voyage aussi palpitant qu’amusant à travers les époques et les lieux, en remettant en question notre obsession tout à fait compréhensible de plaire perpétuellement et de ne pas mourir…
Lire la suite...LE MUSEE DI MARCO VIENT D’OUVRIR SES PORTES A TROYES.
Le musée des faits divers s’est installé dans deux maisons du XVI° siècle.
L’ancienne boutique des docks est devenue l’accueil. Dès l’entreée,piles de vieux exemplaires de Qui Police ? .et de Détective, ancienne et nouvelle formules attendent le visiteur.
Dans un coin, posé sur une chaise un drôle de chapeau écossais, reconnaissable entre tous : celui de Marcel Zannini, le clarinettiste. Plus loin la salle vidéo suivie plus tard de la cafétéria. .
La collection d’Angelo Di Marco est présentée sur trois étages. Dans une pénombre apaisante, des rampes des spots mettent en lumière chacun des originaux d’Angelo Di Marco. Cinquante ans de carrière présentés sans contrainte de chronologie, de thème ou de support:. Dans cette ambiance, l’art de Di Marco révèle toute sa force.