Quel plaisir, après des années et des années de chroniques sur les nouvelles parutions concernant le 9e art, de continuer à découvrir des auteurs prometteurs qui, d’emblée, semblent vraiment maîtriser les codes narratifs et graphiques de la bande dessinée ! C’est d’autant plus méritoire quand il s’agit d’un premier album en ce domaine : ce qui est le cas de Pierre Alexandrine avec son « Amourante ». Ce dense ouvrage de 230 pages, édité chez Glénat, nous propose un voyage aussi palpitant qu’amusant à travers les époques et les lieux, en remettant en question notre obsession tout à fait compréhensible de plaire perpétuellement et de ne pas mourir…
Lire la suite...Le DBD change de formule
Le dossier « auteur » sera désormais regroupé au sein du magazine, qui s’enrichit pour l’occasion de nouvelles rubriques
C’est fin janvier, pour le Festival d’Angoulême, que sortira le premier numéro de la nouvelle formule du DBD, qui marque la fin de la formule Cartonné + broché. Que les fans se rassurent, le dossier de 30 pages consacrées à un seul et même auteur reste d’actualité, puisque après Zep viendront les tours de Dufaux, Léo et Rosinski. « L’avantage de cette rubrique, souligne l’éditeur du DBD, fait que l’ensemble ne sera plus présenté sous plastique, ce qui permettra une disponibilité et une lisibilité plus facile en librairie et surtout un ensemble compact. »
Dans ce numéro n°25 du DBD, vendu 15€, les lecteurs pourront retrouver les rubriques habituelles du magazine auxquelles s’adjoignent désormais les « rétro critiques » (coup d’oeil sur la production des 2 mois passés), « les planches s’encrent » (extraits d’albums à venir), « Sous les planches » (les dessous de la BD) et un Tableau des étoiles Manga.
Laurent Turpin