Par les temps qui courent, il est rare qu’un éditeur se lance dans une saga aux allures classiques prévue en plusieurs volumes. Pourtant, Futuropolis a déjà financé les scénarii des six ouvrages nécessaires à l’épopée de « L’Ange corse », lesquels sont d’ores et déjà écrits, et les trois premiers opus sortiront en l’espace d’une seule année… Rien que pour cela — mais pas que… —, saluons la parution du premier tome de « L’Ange corse » : l’histoire d’un orphelin corse qui doit s’expatrier dans l’Indochine des années 1930, pour échapper à une vendetta. Le jeune insulaire est recueilli, à Saigon, par un riche commerçant et propriétaire terrien natif d’Ajaccio : mais sous sa façade respectable, cet homme, bien installé, trempe dans le proxénétisme et le trafic de stupéfiants…
Lire la suite...IMPARDONNABLE!

Récemment lors d’une Université d’été, il a été dit que j’avais omis dans mes recherches, à la fin des années soixante 60, de parler de mangas.Notez à la fin des années 60! Impardonnable!
Fort heureusement Didier Passamonik a remis les pendules à l’heure et je l’en remercie ici. Mais, je vais ajouter une petite précision afin de faire grimper l’adrénaline à mon détracteur dont je n’arrive pas à me rappeler le nom, il a un nom (c’est un pseudo) un nom de trust américain, Ford, Vanderbilt…bof, eh bien en juillet 1970, j’ai monté une importante expo sur les mangas, en oui, avec la complicité d’Henri Fillipini et de Robert Gigi qui a croqué l’événement. Que l’on se le dise, car quand on veut jouer à l’historien, il y a intérêt à se documenter.
Claude Moliterni
PS:
J’allais oublier, la même année, Jean-Claude Forest et moi étions invités par les Centres culturels français en Corée et au Japon. Nous avons été reçu dans un premier temps par Osamu Tesuka et les dessinateurs japonais et puis par l’éditeur Kodansha.
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