Un petit village — non loin de la frontière suisse — sert de cadre à ce long récit où la sorcellerie est omniprésente, au sein d’une population paysanne inculte, à la merci de la puissance des évêques. À travers deux adolescents que le destin sépare, Virginie Greiner et Annabel évoquent la chasse aux sorcières —incarnations du diable —, qui faisait rage dans les campagnes à la fin du XVe siècle. L’occasion de retrouver deux autrices talentueuses, maîtrisant avec panache une histoire où se mêlent fiction et réalité.
Lire la suite...NICK RODWELL SE CONFIE A LA TRIBUNE DE BRUXELLES DE RETOUR D’HOLLYWOOD
Interviewé par Emmanuelle Jowa, Nick Rodwall fait le point sur les négociations avec Dreamworks et Universal qui vont financer le film. Après sept voyages à Los Angelès, après avoir négocié dans un premier temps avec la Warner et l’équipe de Harry Potter,
Nick Rodwell a été recontacté une deuxième fois par Steven Speilberg et il est arrivé à un accord en six mois. Dans cet interview, il souligne la jeunesse des scénaristes, le tout entouré d’avocats , d’agents . une vraie famille . Nous les européens, nous sommes des étrangers .A Hollywood vous restez toujours un étranger explique-t-il. Son but est de faire exploser Tintin outre-atlantique.Le héros belge aurait ainsi une vraie vocation belge.
Par ailleurs, au sujet du musée Tintin qui devrait s’ouvrir en 2007 ou 2007,, il confie :
- Peut-être que tout va arriver en même temps, le musée et le film. Le but serait d’ y parvenir en 2006. On y travaille en parallèle et cela avance très bien. Le scénario pour le musée est en cours. On ne construit pas un bâtiment pour après décider ensuite de ce qu’on va y mettre. C’est la même chose pour le film.