Quel plaisir, après des années et des années de chroniques sur les nouvelles parutions concernant le 9e art, de continuer à découvrir des auteurs prometteurs qui, d’emblée, semblent vraiment maîtriser les codes narratifs et graphiques de la bande dessinée ! C’est d’autant plus méritoire quand il s’agit d’un premier album en ce domaine : ce qui est le cas de Pierre Alexandrine avec son « Amourante ». Ce dense ouvrage de 230 pages, édité chez Glénat, nous propose un voyage aussi palpitant qu’amusant à travers les époques et les lieux, en remettant en question notre obsession tout à fait compréhensible de plaire perpétuellement et de ne pas mourir…
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Un nouveau mur peint à Bruxelles :
Au 49 de la rue des Alexiens à Bruxelles, le chaland pourra désormais découvrir une peinture murale inspirée d’un autre Chaland, Yves celui là, et représentant le Jeune Albert. Le personnage du dessinateur disparu en 1989 rejoint ainsi le Chat de Geluck, Chick Bill de Tibet et autres Blake et Mortim
Au 49 de la rue des Alexiens à Bruxelles, le chaland pourra désormais découvrir une peinture murale inspirée d’un autre Chaland, Yves celui là, et représentant le Jeune Albert. Le personnage du dessinateur disparu en 1989 rejoint ainsi le Chat de Geluck, Chick Bill de Tibet et autres Blake et Mortimer de Jacobs, sur le parcours de la Bande Dessinée de la capitale belge.