Bruce J. Hawker, le héros favori du regretté William Vance (même après qu’il ait connu l’énorme succès de la série « XIII »), est de retour ! Et le tourmenté officier de la Royal Navy, aux cheveux blanchis par l’écume, reprend le commandement de son navire fétiche : le H. S. M. Lark. Il doit le ramener à bon port, mais les rumeurs vont bon train parmi l’équipage : ce voilier serait maudit ! À moins qu’il ne s’agisse de son capitaine qui exige de ses hommes qu’ils le suivent jusqu’en enfer : leur voyage étant parsemé d’épreuves, entre combats navals et éléments déchaînés. Hawker semble même n’être plus le seul maître à bord, se retrouvant, bien malgré lui, embringué dans la quête du trésor des Templiers.
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Les auteurs au nombre de 146 qui ont signé la lettre de soutien à la direction de Dupuis sont désemparés face aux dernières décisions prises dans le cadre de la gestion des Editions Dupuis
Dans un communiqué aux membres du personnel, Madame Huguette Marien, a nommé deux nouveaux membres du comité de direction, afin que soient représentés l’ensemble des métiers de la maison, à savoir la responsable juridique et le chef fabrication (membre du personnel de Dargaud-Lombard). Les auteurs se demandent pourquoi les autres métiers ne sont pas également représentés, comme le multimedia, le journal de Spirou, la logistique, l’informatique ou les services généraux ? La direction juridique dont on parle ici concerne globalement les contrats d’auteurs (et non le juridique de l’audiovisuel ou le juridique « société »). Il s’agit donc des affaires juridiques liées directement à l’éditorial qui lui, n’est plus représenté dans le comité, en raison de l’ « absence » de Claude Gendrot.
Il est rappelé que Claude Gendrot a été licencié pour faute grave, et qu’à l’heure actuelle, aucun document n’a été signé quant à une éventuelle réintégration. D’autre part, le communiqué ne fait aucune mention d’ Alain Flamion, également licencié pour faute grave.
Les auteurs se demandent donc si ces nominations ne sont pas une manière d’élargir le comité de direction afin de diluer les membres du comité initial.
On vient d’apprendre la réintégration, pour 5 semaines, de Jean-Philippe Doutrelugne (qui avait démissionné 5 mois plus tôt) en tant que conseiller à la direction. Il serait donc possible de « réintégrer » un directeur démissionnaire.
Le communiqué conclut en disant que ces décisions permettront aux auteurs de continuer sereinement leur mission. A ce jour, et notamment pour les raisons évoquées ci-dessus, Il y a comme un doute