Sortie en Italie en 2014, la bande dessinée « Un dragon en forme de nuage » est enfin traduite en France ! Il s’agit d’un scénario écrit par Ettore Scola (« Nous nous sommes tant aimés », « Affreux, sales et méchants » ou encore « Une journée particulière »), mais que le célèbre réalisateur transalpin n’avait jamais tourné. Cette belle histoire, sensible et émouvante, avec pour protagoniste un libraire parisien des bords de Seine, est mise en images à l’aquarelle par un autre monstre sacré, mais du 9e art celui-là : Ivo Milazzo, le dessinateur de la série western « Ken Parker ».
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La légende dit que Douram, le dieu créateur, ne pouvait se résoudre à détruire quoique ce fût dans l’univers qu’il avait créé. La destruction étant essentielle à l’équilibre et à l’harmonie du monde, il chargea une de ses créatures, Dahaak, de cette tâche ingrate.
Sa soif de destruction devint telle que Dahaak menaça de détruire son créateur et de le remplacer. C’est ainsi qu’on enferma ce démon dans les lointaines terres du Nord.
Urbald du clan Nalkath a commis le double sacrilège de tuer le shaman des Wooka, le clan rival, et de séduire Annicia, la fille du chef. Poursuivi par ses ennemis Urbald va traverser le pont de l’oubli qui le mènera dans l’antre de Dahaak. De la voix même du dieu déchu il apprendra son destin: « à partir de ce jour, tu abandonneras toute volonté propre, tu ne vivras que pour tuer, car chaque vie que tu faucheras me libérera de mes chaînes ».Et ainsi fût fait: Urbald se transforma en machine à tuer, chaque massacre vit Urbald se transformer un peu plus en Dahaak et Dahaak s’humaniser.
Dans sa quête pour se libérer de cette malédiction, Urbald croisera le chemin d’Haïlym le scribe, de Saskya la voleuse et de deux enfants Iselle et Kernel, à la fois fascinés et terrifiés.
La marque du démon
Pilotta-Simon- Erkol
Albin Michel






