Les catacombes de Paris sont depuis longtemps un lieu de fantasmes et de rêveries. Ses galeries creusées dans d’anciennes carrières souterraines s’étendent sur des centaines de kilomètres, 20 mètres sous terre. Et si sous ce premier degré existaient d’autres niveaux, jusqu’à un septième peuplé par une communauté souterraine isolée de ceux de la surface. C’est ici que grandit Tia : une préadolescente aventureuse qui veut découvrir ce qu’il se passe dans les rues de la capitale.
Lire la suite...Tome 1 : Du sang pour le pape
Le clan Borgia évoque pour tous une image sulfureuse: des empoisonnements, César Borgia despote éclairé, Lucrèce beauté fatale et venimeuse. . . Mais au-delà de ces clichés, que connaissons-nous vraiment de cette puissante famille ? Dans ce premier …
Le clan Borgia évoque pour tous une image sulfureuse: des empoisonnements, César Borgia despote éclairé, Lucrèce beauté fatale et venimeuse. . .
Mais au-delà de ces clichés, que connaissons-nous vraiment de cette puissante famille ?
Dans ce premier tome de la trilogie, l’accent est mis sur le cardinal Rodriguo Borgia, père des très jeunes César et Lucrèce.
D’origine espagnole, il a peu de chances d’accéder à la succession du pape Innocent VIII. Attisant haine et jalousie dans cette Rome pervertie, on essaye d’attenter à ses jours mais c’est un de ses jeunes fils qui est victime de l’empoisonnement.
Pour mettre sa famille en sécurité, Rodriguo envoie alors les siens loin de Rome: César est destiné aux ordres, Lucrèce est envoyée dans un couvent en compagnie de sa cousine Julia Farnèse. Le cardinal va enfin pouvoir s’atteler à son accession à la papauté. Vingt-trois cardinaux sont en lice, les chances de Borgia sont faibles.
Il va tuer, corrompre, humilier, soudoyer pour arriver à ses fins. Savonarole prédit sur Rome la malédiction de Dieu: la peste est aux portes de la cité. . .
Jodorowski nous propose une saga bâtie sur des faits historiquement reconnus et contés avec un talent magistral.
Quant à Manara, c’est avec un plaisir manifeste qu’il s’est lancé dans la reconstitution de cette période de la renaissance italienne qui lui est si chère.
Albin Michel