Tome 1 : Du sang pour le pape

Le clan Borgia évoque pour tous une image sulfureuse: des empoisonnements, César Borgia despote éclairé, Lucrèce beauté fatale et venimeuse. . .   Mais au-delà de ces clichés, que connaissons-nous vraiment de cette puissante famille ?   Dans ce premier …

Le clan Borgia évoque pour tous une image sulfureuse: des empoisonnements, César Borgia despote éclairé, Lucrèce beauté fatale et venimeuse. . .

 

Mais au-delà de ces clichés, que connaissons-nous vraiment de cette puissante famille ?

 

Dans ce premier tome de la trilogie, l’accent est mis sur le cardinal Rodriguo Borgia, père des très jeunes César et Lucrèce.

 

D’origine espagnole, il a peu de chances d’accéder à la succession du pape Innocent VIII. Attisant haine et jalousie dans cette Rome pervertie, on essaye d’attenter à ses jours mais c’est un de ses jeunes fils qui est victime de l’empoisonnement.

 

Pour mettre sa famille en sécurité, Rodriguo envoie alors les siens loin de Rome: César est destiné aux ordres, Lucrèce est envoyée dans un couvent en compagnie de sa cousine Julia Farnèse. Le cardinal va enfin pouvoir s’atteler à son accession à la papauté. Vingt-trois cardinaux sont en lice, les chances de Borgia sont faibles.

 

Il va tuer, corrompre, humilier, soudoyer pour arriver à ses fins. Savonarole prédit sur Rome la malédiction de Dieu: la peste est aux portes de la cité. . .

 

 

 

Jodorowski nous propose une saga bâtie sur des faits historiquement reconnus et contés avec un talent magistral.

 

Quant à Manara, c’est avec un plaisir manifeste qu’il s’est lancé dans la reconstitution de cette période de la renaissance italienne qui lui est si chère.

 

Albin Michel

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