Quel plaisir, après des années et des années de chroniques sur les nouvelles parutions concernant le 9e art, de continuer à découvrir des auteurs prometteurs qui, d’emblée, semblent vraiment maîtriser les codes narratifs et graphiques de la bande dessinée ! C’est d’autant plus méritoire quand il s’agit d’un premier album en ce domaine : ce qui est le cas de Pierre Alexandrine avec son « Amourante ». Ce dense ouvrage de 230 pages, édité chez Glénat, nous propose un voyage aussi palpitant qu’amusant à travers les époques et les lieux, en remettant en question notre obsession tout à fait compréhensible de plaire perpétuellement et de ne pas mourir…
Lire la suite...Archives mensuelles : juillet 2007
SUPER-HEROS (EN KIOSQUE) DE PRINTEMPS 2007 (2/2)
La sélection exceptionnellement trimestrielle de ce qui se fait de mieux dans le monde des comics en parution française EN KIOSQUE
ET L’ECHO DES SAVANES ?
Dans un communiqué adressé à la presse le jeudi 19 juillet 2007, le groupe Glénat annonce officiellement, mais seulement, la reprise du catalogue bande dessinée d’Albin-Michel.
Exposition de Didier Lefèvre à l’Été photographique de Lectoure
Pour son édition 2007, qui se déroulera du 21 juillet au 26 août, L’Été photographique de Lectoure rendra hommage au photographe Didier Lefèvre, disparu le 29 janvier 2007.
SUPER-HEROS (EN LIBRAIRIE) DE PRINTEMPS 2007 (2/2).
La sélection exceptionnellement trimestrielle de ce qui se fait de mieux dans le monde des comics en parution française EN LIBRAIRIE.
PLUS DE LECTURES DE JUILLET 2007
Avant de prendre des vacances bien méritées, voici une dernière sélection d’albums forts recommandables, avant la reprise, fin août : “ Léo Loden T.17 : Hélico Pesto ” par Serge Carrère, Christophe Arleston et Loïc Nicoloff, “ Le cabaret des muses T.3 : Allez, Darling ” par Gradimir Smudja, et “ Fille de rien ” par Arnü West et Sylvain Ricard.
L’ENVERS DES PLANCHES DE… Jean-Yves MITTON
Toujours à pied d’œuvre, le très prolifique Jean-Yves Mitton sait toujours se rendre disponible pour le grand public, comme il l’a encore démontré en étant présent lors du récent Carrefour de l’Image d’Aubenas. Retour sur une carrière féconde …
LE DECES DE GIOVANNI BOSELLI
Giovanni Sforza Boselli est né en 1924 à Asmara en Erithrée…
LE DECES DE GIOVANNI BOSELLI
Giovanni Sforza Boselli est en 1924 à Asmara en Erithrée (colonie italienne à l’époque). À l’âge de dix ans, il arrive en Italie et après ses études, il dessine des cartoons humoristiques pour le journal Marc’Aurelio. Il illustre aussi des livres pour enfants et réalise des films d’animation. Remarqué par la direction éditoriale de Bambola, il débute une collaboration avec ce périodique. Sa production est importante et l’on peut s’attarder sur des séries de grande qualité comme Gec Sparaspara, Bellocchio et Leccamuffo, Pancho Olé, Sussy la Rossa, Dodo & Coco. des bandes dessinées créés par Corrado Blasetti pour Il Giornalino. Tout en poursuivant cette collaboration, il dessine des couvertures et des cartoons pour divers hebdomadaires pour jeunes.
Claude Moliterni
Décès de Giovanni Sforza Boselli
Giovanni Sforza Boselli, un des grands maîtres de la bande dessinée italienne vient de décéder le 24 juin 2007 à Rome
Giovanni Sforza Boselli est en 1924 à Asmara en Erithrée (colonie italienne à l’époque). À l’âge de dix ans, il arrive en Italie et après ses études, il dessine des cartoons humoristiques pour le journal Marc’Aurelio. Il illustre aussi des livres pour enfants et réalise des films d’animation. Remarqué par la direction éditoriale de Bambola, il débute une collaboration avec ce périodique. Sa production est importante et l’on peut s’attarder sur des séries de grande qualité comme Gec Sparaspara, Bellocchio et Leccamuffo, Pancho Olé, Sussy la Rossa, Dodo & Coco. des bandes dessinées créés par Corrado Blasetti pour Il Giornalino. Tout en poursuivant cette collaboration, il dessine des couvertures et des cartoons pour divers hebdomadaires pour jeunes.
Claude Moliterni
LES FORCATS DE LA ROUTE
Patrice Serres sur une idée de Henri Amouroux vient d’adapter en bandes dessinées le reportage d’Albert Londres pour le Parisien, à raison de deux pages par jour.