Après le succès de ses très réussis « Shangri-La » et « Carbone & Silicium » — où il explorait les théories des paradoxes temporels, puis les conséquences des progrès technologiques sur la détérioration de l’homme —, Mathieu Bablet (1) aborde le récit postapocalyptique dans sa nouvelle grande fresque de science-fiction proposée dans le Label 619 désormais hébergé par les éditions Rue de Sèvres. Dans un lointain futur, les insectes pollinisateurs ont disparu à la suite de bouleversements climatiques… et la Terre est devenue aride et stérile. Une biologiste a pour mission de retrouver les traces génétiques des abeilles, dans l’espoir de revenir au monde d’avant. Une fable écologique et initiatique, aussi complexe qu’envoûtante, qui nous donne furieusement envie d’aller de l’avant !
Lire la suite...MICHEL- EDOUARD LECLERC EVINCE DU FESTVAL D’ANGOULEME
«Les responsables du festival ont été minables»
Au lendemain de l’annonce de l’arrivée de la Fnac et de la SNCF comme partenaires du festival de la BD d’Angoulême, Michel-Edouard Leclerc est pour le moins amer. «J’ai été informé mardi matin par Denis Olivennes, le PDG de la Fnac», assure le patron des hypermarchés qui portent son nom.
C’est ainsi que M.E Leclerc manifeste son étonnement dans
C’est ainsi que l’on remercie ceux qui ont contribué au succès du Festival International de la Bande dessinée d’Angoulême.
En fait Franck Bondoux a choisit la FNAC et la SNCF à Michel Edouard Leclerc. Celui-ci déplore la dérive marketing du festival depuis l’arrivée de Frank Bondoux : Je me rappelle que lorsqu’on est arrivé à Angoulême, les auteurs rebelles de BD craignaient la mainmise des grands commerçants sur le temple de
Claude Moliterni
Info: La Charente Libre