C’est devenu une tradition depuis cinq ans (1) : tous nos collaborateurs réguliers se donnent le mot, à l’occasion de cet ultime article de l’année, pour une petite et très variée session de rattrapage ! En effet, même s’il est assurément plus porté sur les classiques du 9e art et son patrimoine, BDzoom.com se veut quand même un site assez éclectique : pour preuve cette compilation de quelques albums de bandes dessinées que nous n’avions pas encore, pour diverses raisons, pu mettre en avant, lors de leurs sorties dans le courant de l’année 2025.
Lire la suite...LE PERE DE B.C, JOHNNY HART EST DECEDE LE 7 AVRIL 2007
Né le 18 février 1931 à Endicott, New York, Johnny Lewis Hart commence à travailler à l’âge de 20 ans. Soldat dans l’U.S. Air Force durant la guerre de Corée, il livre des dessins et des cartoons pour l’hebdomadaire de l’armée américaine Stars and Stripes.
Libéré de ses obligations militaires en 1953, il est’ engagé pour une collaboration très importante avec le Saturday Evening Post, Collier’s, Bluebook. Durant deux ans, il travaille aussi dans le département graphique de
A propos de B.C:
En 1958 B.C. de Johnny Hart qui présenta un incroyable assortiment d’hommes préhistoriques passant le plus clair du temps en de subtiles spéculations sur la marche du monde et le sort futur de
Cette bande est émaillée de désopilantes péripéties, de rebondissements burlesques et d’heureuses trouvailles qui en font un chef-d’œuvre de comédie légère en même temps qu’une irrépressible parodie de notre société moderne. Très proche de B.C. est le non moins remarquable Wizard of id (1964) de Brant Parker pour le dessin et Johnny Hart pour le scénario. Dans son château, au centre d’un paysage sommaire et désertique, règne un roi minuscule, blasé et méchant, image de la fatuité, de l’égocentrisme, humilié de sa petite taille. Il est assisté d’un enchanteur aux effets incertains et d’un chevalier poltron et sournois. Il règne sur des rustres fourbes et arrogants. Chacun méprise tous les autres et soi-même, et seul le magicien désabusé et le bouffon, toujours ivre, sont parfois humains.
Claude Moliterni
info:AFnews






