Ils sont effectivement six, dans les années 1850 : en comptant Kid, un garçon rendu borgne lors du massacre de sa famille. Alors que Kid doit se rendre dans les Black Hills (Dakota du sud) pour récupérer un document très important sur une mine d’or dont il a hérité (mais qui serait maudite), il promet à une prostituée, à un déserteur de l’armée, à un esclave en fuite, à une religieuse qui a quitté les ordres et à un Indien renégat de les couvrir d’or s’ils l’accompagnent…
Lire la suite...INTERVIEW DE WALTER FAHRER
Dans quelques jours va paraître le quatrième album de la saga Gato Montes, qui s’intitule Laetizia.A ce propos, nous avons posé quelques questions à son auteur.
CM :Walter Fahrer, comment est né Gato Montès ?
WF : Je toujours été fasciné par les histoires d’immigrants et
conquérants. Que se soit au nord ou au sud de l’Amérique. Borges décrit très bien , dans plusieurs de ses récits cette situation,ou des races se mélangent pour créer des pays cosmopolites L’Argentine en est un, et Gato Montés, fils d’un cacique indien et d’une captive blanche , en est un autre.
CM ; Les premiers albums sont parus chez Dargaud et ils ont été bien accueillis. Mais après un séjour en Buenos Aires, vous avez rencontré le célèbre scénariste argentin Carlos Trillo et de cette rencontre est né un nouveau personnage publié par Casterman. ?
WF ; Carlos et moi nous nous sommes connus à Angoulême, et c’est pendant un dîner que nous avons envisagé de travailler ensemble.
CM ; Le quatrième album de Gato Montes arrive dans les bacs, il s’intitule Laetizia et parait aux éditions Etoile du Sud. Cet album termine la saga qui a débuté en Argentine pour se terminer en Corse.
Pouvez-vous nous en dire plus ?
WF ; Oui. Elle, ne fini pas en Corse, mais en Argentine, au moment où
naît le tango. Suivez mon regard.
CM : Les quatre volumes vont être réunis dans un coffret, quand sera-t-il disponible ?
WF ; Je pense qu’il sera disponible pour les Fêtes de fin d’année.
CM ;Après Gato Montes, quels sont vos projets en bandes dessinées?
WF ; Suivez mon regard…