Après deux diptyques d’une série sans personnages récurrents particulièrement réussis (1), le scénariste Zidrou et le dessinateur Arno Monin continuent de mettre en cases le thème de l’adoption en publiant — toujours sous forme d’une comédie mélancolique pour le grand public — un cinquième tome qui peut se lire sans qu’on ait eu connaissance des précédents : un one shot qui privilégie l’émotion, la douceur et la délicatesse (tant dans l’idée et la narration que dans le graphisme), en scénographiant trois jeunes filles qui sont devenues sœurs…, puis orphelines de leur papa adoptif. Une belle histoire familiale écrite avec optimisme, pour nous aider à surmonter, plus facilement, les épreuves que la vie nous fait régulièrement subir…
Lire la suite...CARTE DE VOEUX DUPUIS/SPIROU POUR 2001
« A l’heure de l’e-mail, les Editions Dupuis vous souhaitent une année 2001 postmodem joyeusement timbrée ». L’explication à l’intérieur de cette brochure vous dira mieux les choses que personne : « Ces 198 vignettes (des timbres auraient-ils du préciser), tendres et rigolotes comme tout, sont à dét
Carte de vœux Dupuis/Spirou
pour la nouvelle année
« A l’heure de l’e-mail, les Editions Dupuis vous souhaitent une année 2001 postmodem joyeusement timbrée ». L’explication à l’intérieur de cette brochure vous dira mieux les choses que personne : « Ces 198 vignettes (des timbres auraient-ils du préciser), tendres et rigolotes comme tout, sont à détacher selon les pointillés, comme il se doit, et à coller où vous voulez.
Vous pouvez les utiliser comme patchs antimorosité, comme rustines à colmater les fuites de bonne humeur, mais surtout pas comme timbres-poste, elles ne sont pas homologuées tiens ! Ces vignettes représentent tous les héros actuels du beau magazine Spirou. Elles sont l’œuvre de 72 auteurs dont on ne louera jamais assez le talent. Qu’ils soient ici remerciés . »
Effectivement, s’il serait fastidieux de citer tous les participants, nous nous plairont à en mettre quelques-uns en avant comme Francis Bergèse (Buck Danny), Seron (Les petits Hommes) ou encore Tom et Janry (Spirou et le petit Spirou). Du beau boulot, amusant et esthétique. Rappelons que vers la fin des années cinquante, Spirou avait déjà proposé une grande planche de faux timbres postes à l’effigie des héros du moment.
Ces timbres étaient devenus rares pour la bonne raison qu’ils étaient encartés dans le journal mais supprimés dans les recueils.
Les fans de Spirou ne manqueront pas de partir en quête du premier collector de l’année, du siècle, du millénaire…