Quel plaisir, après des années et des années de chroniques sur les nouvelles parutions concernant le 9e art, de continuer à découvrir des auteurs prometteurs qui, d’emblée, semblent vraiment maîtriser les codes narratifs et graphiques de la bande dessinée ! C’est d’autant plus méritoire quand il s’agit d’un premier album en ce domaine : ce qui est le cas de Pierre Alexandrine avec son « Amourante ». Ce dense ouvrage de 230 pages, édité chez Glénat, nous propose un voyage aussi palpitant qu’amusant à travers les époques et les lieux, en remettant en question notre obsession tout à fait compréhensible de plaire perpétuellement et de ne pas mourir…
Lire la suite...Jojo au pensionnat
Le début : Pauvre Mamy ! Obligée de se faire opérer de la hanche, elle doit rester quatre semaines en convalescence loin de sa maison et de son petit Jojo. Pauvre Jojo ! Afin de ne pas manquer l’école, il …
Le début : Pauvre Mamy ! Obligée de se faire opérer de la hanche, elle doit rester quatre semaines en convalescence loin de sa maison et de son petit Jojo. Pauvre Jojo ! Afin de ne pas manquer l’école, il est obligé, pendant un mois, d’aller vivre dans un pensionnat à la grande ville. Mais lorsque l’on découvre que son école peut toujours faire office d’internat, tout change : le petit bonhomme va résider au-dessus de l’école n° 5 et cohabiter avec Monsieur le Directeur. Pauvre directeur ! Quatre semaines avec un tel pensionnaire, il peut dire adieu à sa tranquillité. Et quand toute la classe, jalouse de ce statut particulier, commence à s’inviter, les ennuis ne font que commencer !
Notre avis : Humour, tendresse, émotion … tout a été dit (ou presque) sur cette charmante série enfantine dont ce nouvel album est une réussite, petit bijou de bonheur discret et intime, à deguster avec jubilation. Jojo est décidemment une série indispensable à toute bonne bibliothèque BD.