Ils sont effectivement six, dans les années 1850 : en comptant Kid, un garçon rendu borgne lors du massacre de sa famille. Alors que Kid doit se rendre dans les Black Hills (Dakota du sud) pour récupérer un document très important sur une mine d’or dont il a hérité (mais qui serait maudite), il promet à une prostituée, à un déserteur de l’armée, à un esclave en fuite, à une religieuse qui a quitté les ordres et à un Indien renégat de les couvrir d’or s’ils l’accompagnent…
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A l’occasion d’un entretien avec l’hebdomadaire financier La Bourse pour Tous (n°8, semaine du 2 au 9 novembre 2000, un article de Pascale Besses-Boumard
Olivier de Bosredon, PDG du parc Astérix, se confie à l’hebdomadaire « La Bourse pour Tous »
A l’occasion d’un entretien avec l’hebdomadaire financier La Bourse pour Tous (n°8, semaine du 2 au 9 novembre 2000, un article de Pascale Besses-Boumard), nous apprenons que la saison 2000 n’a pas été très brillante pour le célèbre parc de loisir, cela en raison d’un mois de juillet catastrophique dû aux conditions climatiques.
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Si la chute de fréquentation est significative, elle n’en paraît pas moins redressable puisque les chiffres indiquent une fréquentation de 1,8 millions de visiteurs pour cette année contre 2 millions l’an dernier. De même, la dépense moyenne par visiteur se tasse aux environ de 80 francs
Pour faire face à cette situation, Olivier de Bosredon envisage « de rénover plusieurs restaurants du parc, d’élargir l’offre des boutiques et d’ouvrir de nouveaux restaurants au concept très moderne », un investissement d’environ 150 millions de francs. « Même si notre clientèle est en progression constante, ajoute-t-il, il faut bien avoir en tête que le parc Astérix ne pourra jamais accueillir plus de 2,5 millions de visiteurs par an, et, précise-t-il, comme nous affichons déjà un total proche des deux millions, la croissance sur ce site est donc limitée ».
Ils regardent donc ailleurs, nous informe l’hebdomadaire, et nous apprenons que la société dirigée par Olivier de Bosredon est actuellement propriétaire de sites comme l’aquarium de Saint-Malo, le musée Grévin à Paris, le complexe France Miniature et le parc de Bagatelle dans le Pas-de-Calais et finalise avec la région Alsace la construction du Bioscope, un complexe de loisir tourné autour de l’homme, la nature et l’environnement.